Titre : |
Les nuits blanches : Roman sentimental (extraits des souvenirs d'un rêveur) |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Fedor MihailoviÏc Dostoevskij (1821-1881), Auteur ; André Markowicz (1960-....), Traducteur ; Michel Del Castillo (1933-....), Auteur de la postface, du colophon, etc. |
Editeur : |
Arles : Actes Sud |
Année de publication : |
1992 |
Autre Editeur : |
[Bruxelles] : Labor |
Collection : |
Babel num. 43 |
Importance : |
101 p. |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-86869-831-5 |
Prix : |
33 F |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Russe (rus) |
Index. décimale : |
8.5 Romans classiques |
Résumé : |
Les Nuits blanches, c'est d'abord un vrai roman d'amour. Un jeune homme solitaire et romanesque rencontre, une nuit, dans Petersbourg désert, une jeune fille éplorée. Désespérée par un chagrin d'amour, Nastenka se laisse aller au fantasme du jeune homme, amoureux depuis le premier instant, le berce - et se berce - dans l'illusion d'une flamme naissante...
La nouvelle traduction d'André Markowicz tire de ce roman un parti stylistique étonnant. Discordante, ironique, la voix que l'on entend ici est bien celle du grand écrivain russe, qui n'a cessé sa vie durant de se battre, au nom de la vérité, contre l'élégance trompeuse, celle des mots et celle des sentiments. |
Les nuits blanches : Roman sentimental (extraits des souvenirs d'un rêveur) [texte imprimé] / Fedor MihailoviÏc Dostoevskij (1821-1881), Auteur ; André Markowicz (1960-....), Traducteur ; Michel Del Castillo (1933-....), Auteur de la postface, du colophon, etc. . - Arles : Actes Sud : [Bruxelles] : Labor, 1992 . - 101 p. : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - ( Babel; 43) . ISBN : 978-2-86869-831-5 : 33 F Langues : Français ( fre) Langues originales : Russe ( rus)
Index. décimale : |
8.5 Romans classiques |
Résumé : |
Les Nuits blanches, c'est d'abord un vrai roman d'amour. Un jeune homme solitaire et romanesque rencontre, une nuit, dans Petersbourg désert, une jeune fille éplorée. Désespérée par un chagrin d'amour, Nastenka se laisse aller au fantasme du jeune homme, amoureux depuis le premier instant, le berce - et se berce - dans l'illusion d'une flamme naissante...
La nouvelle traduction d'André Markowicz tire de ce roman un parti stylistique étonnant. Discordante, ironique, la voix que l'on entend ici est bien celle du grand écrivain russe, qui n'a cessé sa vie durant de se battre, au nom de la vérité, contre l'élégance trompeuse, celle des mots et celle des sentiments. |
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